“Entre lumière et silence” – est composé de fragments d’or – déchirés, flottants – comme des souvenirs trop radieux pour être oubliés,
posés délicatement sur une tempête d’ombre. Le noir et le blanc s’entrechoquent et se caressent, échos du temps brisé et des vérités inexprimées.

Les fissures brillent comme des poussières d’étoiles là où la douleur est passée – non pas pour se briser, mais pour s’ouvrir.
Des étincelles bleues s’échappent discrètement de l’obscurité, comme l’espoir qui reprend son souffle sous la surface du chagrin.

Ce n’est pas le chaos, c’est l’alchimie de la guérison,
où les blessures deviennent des fenêtres et où l’or se souvient de chaque cicatrice avec grâce.