L’immobilité entre les lignes, où Snoopy est allongé – les yeux fermés, l’âme ouverte – se reposant non seulement sur son toit, mais aussi dans un rêve entre les dimensions.
Woodstock l’observe tranquillement, sentinelle de la paix dans un ciel doré gravé de feu, de grille et de silence.
Derrière eux, le monde se fracture en structure et en rythme, les lignes noires ressemblant à des barres, ou peut-être à des portées de musique attendant d’être jouées.
La chaleur du coucher de soleil traverse les fissures – un souvenir de liberté, un murmure de joies plus simples.
Il ne s’agit pas seulement d’un clin d’œil nostalgique, mais d’une méditation dans l’ambre et l’ombre, sur l’enfance, sur l’amitié tranquille, sur les espaces que nous construisons pour nous reposer lorsque le monde semble trop bruyant.
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